1) A, B et C. Effecivement, un réacteur nucléaire, outre son but de produire de lélectricité, engendre pour son refroidissement dénormes quantités deau et dair chauds qui sont rejetées dans la nature
2) A, B et C. Pour assurer lentretien des condenseurs, du fait de leur entartrage permanent, de lacide sulfurique est injecté dans les tuyauteries. Avec le tartre, sévacue aussi du zinc et du cuivre, cest-à-dire les éléments constituant du laiton dont sont faits les condenseurs, ainsi que des sulfates (37 tonnes par jour). Désormais EDF a remplacé le laiton par de lacier inox. Et donc on ne trouve plus de cuivre et de zinc mais des amibes pathogènes
3) A. Une tonne de minerai duranium doit être extraite pour finalement parvenir à produire 21 g dU 235 fissile.
4) A, B et C et oui, les réacteurs sont autorisés à rejeter annuellement des liquides et des gaz radioactifs, y compris liode 131. En cas daccident nucléaire cest sans commune mesure, voir Tchernobyl.
5) C. Incolore, invisible et inodore, tels sont les autres caractéristiques de la radioactivité. Pour la détecter il faut impérativement disposer dappareils spéciaux de dosimétrie.
6) Ça dépend du mode de refroidissement : aéroréfrigérants comme à Nogent = A, circuit ouvert comme à Paluel = C
7) A. Suivant un principe de physique, le principe de Carnot,les deux-tiers de lénergie fournie sont perdus. Seul un tiers est restitué sous forme de courant électrique. Pour une tranche de 1310 MW électrique, la puissance thermique totale développée par le réacteur est de 3930 MW. Les deux-tiers (cest-à-dire 2620 MW) sont entièrement perdus : de la chaleur rejetée sous forme dair chaud et deau chaude.
8) C. Une publicité dEDF dans la presse.
9) B. Autrement dit, 88 % sont dorigine combustibles fossiles (pétrole, charbon, gaz) et 6 % dénergies renouvelable, principalement lhydraulique.
10) A. Soit près de 2 années du chiffre daffaire de lépoque.
Si vous comptiez sur la publicité pour vous informer, vous aviez tout faux.