Les normes de sûreté pour établir le positionnement de la plate-forme d'une centrale afin qu'elle soit protégée du risque d'inondation font appel à des formules mathématiques dont personne ne peut justifier la validité. Le hic, on n'a pas tenu compte des vagues dans la modélisation mathématique. Comment peut-on imaginer des vagues quand on est coincé dans un bureau quelque part en région parisienne ? Il n'y a pas de vagues à l'IPSN de Fontenay-aux-Roses ni au Département d'études et recherches d'EDF !