(Youtube, basse définition) |
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49mn de François Jacquemain, 1980. "Plogoff, les révoltés du nucléaire" (Viméo, basse définition) 52 mn de François Reinhardt. |
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(Youtube, basse définition) Réalisé par Jacques Cotta et Pascal Martin. |
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(Youtube, basse définition) Un film de Catherine Pozzo Di Borgo.
Ce documentaire met en lumière
la précarité d'emploi, pose la question des risques
auxquels « ces trimardeurs du nucléaire »
sont exposés. Une interrogation sur la sûreté
des installations nucléaires françaises. |
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(Youtube, basse définition), 52 mn. Réalisé par Colombe Schneck pour Arrêt sur Image. |
Réalisé par Laurent Tabet sur le nucléaire, la Hague au coeur de l'industrie nucléaire française. |
Réalisé par Emmanuel
Amara et Romain Icard. |
(Youtube), 36 mn. De Thierry Lamireau, le DVD est disponible
chez: Thierry Lamireau |
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54 mn sur Dailymotion Gabon et Niger, un documentaire de Dominique Hennequin et Pascal Lorent. |
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(98 mn, Youtube) Réalisé par Laure Noualhat et Éric Guéret pour Arte.
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(24 mn, Youtube) Antoine Godinot
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1h54 réalisé par Le blog du Comité Centrales Une pièce à charge dans les débats en cours sur la relance du nucléaire, prendre en compte le refus généralisé des déchets nucléaires par les populations sur tout le territoire au cours des quarante dernières années, parler des méthodes de l'ANDRA qui ne recule devant rien quand il s'agit de corrompre pour oeuvrer à l'acceptabilité sociale de ses projets ! |
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(Youtube, 15 mn) Extraits d'un documentaire de Sarah Oultaf, "Pollution des sols, le scandale caché", diffusé par France 5 en janvier 2015. |
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(Youtube, 8 mn, basse définition) 30 ans après la fermeture de la première usine de radium de Gif-sur-Yvette dans l'Essonne, le Commissariat à l'énergie atomique admet «un état peu satisfaisant» du niveau de décontamination à l'endroit même d'un lotissement. |
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Un film du cinéaste indépendant
Magnus Isacsson. Prix Golden Sheaf du meilleur documentaire,
Yorkton Short Film and Video Festival (Saskatchewan, 1991).
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(Youtube, basse définition), Un reportage de 26 mn de Jean Charles Chatard et Solange Graziani. Sur la radioactivité des plages de Camargue. |
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(Youtube, basse définition), 80mn. |
(dailymotion) Pièces à conviction 53 mn sur Dallymotion, de l'uranium appauvri à Bourges en France et thorium à Quirra en Sardaigne. |
Une émission du magazine 90 minutes sur Canal + était consacrée aux munitions à l'uranium appauvri largement utilisées sur le champ de bataille durant la guerre du Golfe. |
52 mn, Antonia Rados, 2003. A voir pour connaître l'implication des gouvernements et des firmes occidentales dans l'armement conventionnel et non conventionnel comme le nucléaire, de l'Irak. |
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(42 mn, Viméo, basse définition) Un film de Hesi Carmel, Jean-Marc Gonin et Richard Puech (coproduction France3-Capa) qui enquête sur les menaces, réelles ou supposées, d'attentat terroriste nucléaire. |
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(Youtube, 50 mn, basse définition) Le délabrement avancé de l'arsenal nucléaire en ex-URSS (sur 132 bombes valises, seules 48 sur 132 ont été localisées). |
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(Youtube, 49 mn, basse définition) L'histoire du USS Nautilus américain et du K3 soviétique, les premiers sous-marins nucléaire de la guerre froide. |
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Un documentaire de Jane Armstrong (il y a une confusion dans ce documentaire avec K-159 au lieu de K-129). Le K129, un sous-marin diesel lanceur d'engins a sombré le 8 mars 1968 dans le Pacifique. Il a coulé à 5000 mètres, mais ce qui fait son intérêt, c'est qu'il n'a pas été renfloué par les Soviétiques... En juin 1968, après s'être assurés que les soviétiques avaient abandonné les recherches, l'US Navy et la CIA ont entrepris une opération secrète de recherche et de renflouement du K129 qui reçut un nom de code « Opération Clémentine ». |
(Youtube, basse définition), 53 mn. |
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Vladivostok: les ruines de la flotte nucléaire du pacifique, le "recyclage" de ces déchets radioactifs via la Corée et Grigori Pasko (incarcéré pendant 20 mois) qui a écrit des centaines d'articles sur la pollution engendrée par les sous-marins nucléaires à l'abandon et a rendu publiques des images de déversement de déchets radioactifs en mer du Japon. |
56 mn de Robert Stone, 1988. S'appuyant sur des archives des années 40, le film s'intéresse au sort des habitants de Bikini après les essais de la bombe atomique, et des soldats américains irradiés notamment de John D. Smitherman. Voir le "reportage" sur les tests Able et Baker en 1946 (la vidéo a été restaurée et colorisée). |
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(Youtube, basse définition) Documentaire de Denis O'Rourk 1985. Lors de l'essai "Bravo" les habitants de deux atolls sont délibérément soumis aux radiations. |
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(132 explosions nucléaires en Nouvelle Zemble) |
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53 mn sur Youtube,
de Jurek Sladkowski, Allemagne 1997. Les confidences d'un officier ayant travaillé pendant 4 ans sur cette base, tout son bataillon a été rayé des cadres de l'armée comme s'il n'avait jamais existé, les règles de sécurité concernant la radioactivité n'ont jamais été respectées, la vérité a toujours été occultée. |
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"La bombe rouge" 9 mm sur Youtube de Sean Barrett (1994). Chinese Nuclear Testing 33 mn, Film de 1966, voir le test vers 18.00 La version grande propagande 3mn30 en musique. |
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A voir absolument : (Youtube) Un documentaire de 60 mn de Brigitte Rossigneux et André Gazut, Télé Suisse Romande, 1996. Découvrez comment la France a utiliser de nombreux militaires comme cobayes. |
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France 24, 17 mn (Youtube) |
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60 ans après l'accident du tir Béryl 6 mn, France 24 (Youtube) Avant la Polynésie, l'Algérie a été le théâtre des essais nucléaires français, qui ont continué après l'indépendance du pays. Ces tests ont connu des épisodes parfois dramatiques. Ainsi, le 1er mai 1962, le tir Béryl ne s'est pas déroulé comme prévu, sous les yeux effrayés de ministres venus constater à In Ekker la grandeur nucléaire de la France (mais aucun problème dans la version officielle du "Journal Les Actualités Françaises" du 16/05/1962). Karim Yahiaoui et Georges Yazbeck ont retrouvé un témoin de cet essai raté dont les effets dévastateurs sur les hommes et l'environnement perdurent. |
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A voir absolument : 60 mn de Jean-Philippe Desbordes et Christine Bonnet, 2012. Ce film raconte deux histoires à jamais mêlées, celle de Bernard Ista et celle de la bombe atomique française. Leur première rencontre à lieu dans le désert algérien en 1960, lors des premières expérimentations de la bombe A. Leurs adieux se feront en 1995, dans l'atoll de Mururoa, lors des derniers tirs de la bombe H. 35 années d'une aventure commune exaltante et tragique. En 1998, Bernard Ista décède des suites d'un cancer. |
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(Youtube) |
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(Youtube, basse définition) Emission "Pièces à conviction" présenté par Elise Lucet sur les vétérans du nucléaire en France. (la fin du documentaire est abîmée mais le son est bon (problème de vieillissement de la K7 VHS) |
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(Youtube, basse définition), 60mn. Ce film réalisé par les journalistes Jacques Cotta et Pascal Martin met en avant les conséquences sur les personnes des explosions nucléaires menées par les autorités françaises au Sahara (Regane et In Eker) et en Polynésie (Moruroa et Fangataufa). Une période qui court du 13 février 1960 au 27 janvier 1996 et couvre 210 essais nucléaires, aériens ou souterrains. |
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Un documentaire de 50 mn qui explique
le rôle de l'usine et les circonstances de l'accident.
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Cette usine a eu tellement d'accidents qu'elle a été rebaptisée Sellafield |
(Youtube, 51 mn, basse définition) Le 28 mars 1979, à 8 heures du matin se produisit à la centrale nucléaire civile de Three Mile Island, un accident (non prévu dans la liste des accidents "étudiés" par les autorités de sûreté) résultant de l'enchaînement, estimé très improbable, d'une défaillance de matériel, d'une faute de maintenance non prévue à la conception, de deux erreurs de conception (au moins) et de la non-validité de la "procédure de conduite" fournie aux opérateurs. |
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Un film de Vladimir Shevchenko, 1988, URSS, 54 minutes, VO. A voir absolument, ce film documentaire couvre la catastrophe de Tchernobyl sur les trois mois qui ont suivi. Films en VO (avec possibilité de sous-titres en russe traduits vers le français dans YouTube), une partie de la qualité du film est médiocre, en raison des niveaux élevés de rayonnement sur le tournage du film... L'auteur Vladimir Shevchenko est un cameraman ukrainien, qui travaillait pour Centrale TV Ukraine et figura parmi les rares « privilégiés » susceptibles de filmer dans toute la zone dite « interdite ». Shevchenko filme sans relâche les liquidateurs au travail avec des moyens dérisoires, seulement protégés par des masques de chirurgien. A l'époque, Shevchenko ignorait bien sûr que ce film serait son dernier et que sa volonté de témoigner de la catastrophe de Tchernobyl, lui serait fatale, exposé aux hautes doses de radioactivité, son agonie fut à l'image de celle des pompiers intervenus durant les premiers heures ou de la plupart des employés qui travaillaient dans la centrale au moment de l'explosion. Malgré les rapides symptômes des effets de la radioactivité sur son organisme, quelques semaines après son tournage, Shevchenko avoua qu'il ne regrettait en rien son choix et fut même fier de donner sa vie pour un tel combat destiné à montrer la vérité sur Tchernobyl, au-delà de la chape de plomb qui pesait dans tous les médias et sur les lieux. Son seul regret : penser à tout ce qu'il n'avait pas pu filmer |
Tchernobyl, et après..." (Youtube, 1h20) Un film de Bernard Debord (2006), c'est une contribution majeure à l'information sur les conséquences pour les évacués de "la zone", sur les victimes en Biélorussie, sur les mensonges de l'AIEA... la visite des enfants abandonnés de l'orphelinat de Gomel ne laissera personne indifférent. |
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"La bataille de Tchernobyl" (Youtube) Un film de 94 mn de Thomas Johnson (2006), des interviews rares des responsables de la liquidation, de nombreux extraits du film "Les Deux Couleurs du temps", monté par la télévision de Kiev à partir des images prises pendant l'accident, dont les caméramans qui ont suivi les liquidateurs au "front" sont presque tous morts maintenant. |
Récit par le dosimétristes Valery Starodumov: L'opération de nettoyage des toits a duré plus de cinq mois. C'était l'endroit le plus contaminé, et donc le plus dangereux. L'officier du renseignement et dosimétriste Valery Starodumov a participé à l'opération jusqu'à son achèvement. Il se rendait sur les toits et y conduisait les gens. Il est l'un des rares parmis les 3828 participants à être resté longtemps en vie ! |
La cheminée faisait 78 mètres de haut et elle n'avait pas été décontaminée (environs 47 rem d'irradiation supplémentaire pour Valery Starodumov et les deux autres dosimétristes qui ont hissé un drapeau rouge dans un geste illusoire de victoire). |
Peut-on se réjouir qu'une
oeuvre de qualité hollywoodienne incontestable, qui non
seulement comporte bon nombre d'erreurs, d'invraisemblances et
de contrevérités, mais en outre évacue des
dimensions essentielles de l'évènement dont elle
parle ? Un nombre très élevé d'approximations, d'erreurs, de contrevérités dans cette série. Yves Lenoir, président de l'association "Enfants-Tchernobyl-Belarus" en a dressé une liste édifiante. |
(Youtube, 40 mn, basse définition) Un "docufiction" de Renny Bartell, qui montre comment les opérateurs du réacteur ont déclenché la catastrophe. |
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Reportage de 98 mn en 2 parties de la télévision
publique japonaise NHK de Hiroshima.
Prix de la Nymphe d'argent au festival de Monte-Carlo 1991 (Viméo, basse définition) |
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(Viméo, basse définition) 1987, 85 mn , documentaire très
soviétique de Rollan Serguienko. |
(Youtube) A voir absolument,
le documentaire de 24 mn de Wladimir Tchertkoff (2003), prix
du meilleur documentaire scientifique et d'environnement. |
(Youtube) Documentaire de 51 mn de Wladimir
Tchertkoff (2003). |
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(Youtube, basse définition) Documentaire de Wladimir Tchertkoff (1998). Wladimir Tchertkoff a rencontré tous ceux femmes, hommes, enfants, scientifiques, "liquidateurs", médecins pris au piège de ces terres en apparence intactes, où l'on tombe mortellement malade de s'être promené, d'avoir pêché ou d'avoir cueilli baies et champignons. |
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Documentaire de 39 mn en petit mp4 de Maryann De Leo (2003). Adi Roche a créé, en 1991, la "Fondation les Enfants de Tchernobyl" d'Irlande qui vient en aide aux enfants victimes de la catastrophe de Tchernobyl. Ce film montre son action et les maladies qui ravagent les plus petits. |
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(Youtube, très, très basse définition) Une intervention de Bella Belbéoch sur les conséquences sanitaires de la catastrophe de Tchernobyl. |
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"Leçons de Tchernobyl" (Youtube) 22 mn (youtube) présentation d'Alexey Yablokov réalisée à l'occasion du symposium organisé par la fondation Helen Caldicott en Mars 2013 à New York (mis en ligne par kna-blog.blogspot). |
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Un documentaire de Marc Petitjean
et Yves
Lenoir, 1h25 sur Youtube. |
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(Youtube, basse définition) 1996, 54 mn, documentaire de K. Langbein, J. Kamienski, M.F. Han, L. Antonienko, S. Toshida. |
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Reportage sur les conséquences médicales de Tchernobyl en RealVidéo 21 kb. |
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Un documentaire sur les mensonges des "autorités" sur le nuage de Tchernobyl, à noter les témoignages de pompiers corses de l'époque et de certains membres du personnel de centrales nucléaires. |
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"L'Europe et Tchernobyl" (Youtube,
59 mn) Un documentaire de Dominique Gros (2006) sur les conséquences de Tchernobyl en Europe où Norvège, Grèce, Autriche et France, ont été durablement contaminées. En Norvège, par exemple, les populations Sami présentent la même concentration de césium radioactif que les voisins immédiats de la centrale. Ils ont été contaminés par leurs rennes qui mangent le lichen. |
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Un
documentaire de 50 mn sur les conséquences de Tchernobyl. |
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Un film de Bente Milton, Sabine Kemper, Jorgen Pedersen. Le démantèlement du monstre nucléaire est un processus long, dangereux et coûteux qui s'étalera sur des années, voir plusieurs décennies, et dont l'ardoise de plusieurs milliards de dollars sera réglée presque entièrement par l'Occident. |
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(Youtube, 1h40) |
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(Youtube, 15 mn, basse définition) Une enquète de la rédaction de 90 minutes sur les sources radioactives abandonnée par l'Armée rouge dans cette ex-république soviétique. |
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(Youtube, basse définition) Un très bon documentaire de Serge Viallet. |
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Un documentaire sur le projet Manhattan et le bombardement atomique qui bien qu'entièrement aligné sur les thèses officielles américaines (millier de vies américaines sauvées, refus du Japon de se rendre etc.) est très instructif sur la préparation et les infrastructures mises en place pour arriver aux bombardements d'Hiroshima et de Nagasaki. |
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Louis Slotin, le 21 mai 1946, deux hémisphères remplis du produit critique se rejoignirent trop vite et une clarté bleuâtre, aveuglante, envahit la pièce. 50 mn en RealVidéo 33 kb. |
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Projet fou: de Gary Marcuse, (Viméo, 51 mn basse définition) Lire: La super-dynamite atomique: 4 explosion nucléaires pour faire un port en Alaska (en PDF, Science et Vie n°493, octobre 1958) |
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Ecrit et réalisé par Thierry Ragobert, Thierry Piantanida. 1ère partie : Les Années 1950 - 2ème partie : Les Années 1960 |
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Projet fou: et voir le début de "L'épopée des fusées, la
propulsion atomique"
(Youtube) |
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